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African Union

Mettre en place une politique continentale pour accélérer le potentiel des startups africaines

Services

Notre client

Le rôle de l’Union africaine est de plus en plus transformateur, la Commission et les organes politiques de l’Union mettant en place des programmes politiques pertinents à l’échelle continental. À l’ère actuelle de l’intelligence artificielle et de la croissance rapide des entreprises technologiques, l’Union africaine a un rôle important à jouer en encourageant les gouvernements africains à créer des environnements favorables à la recherche, au développement et a l’innovation, notamment par l’élaboration de cadres réglementaires guidant l’élaboration des politiques locales.

La mission du client

Une étude menée par la Société financière internationale en 2020 a montré que l’écosystème des startups poussera l’économie africaine du numérique vers une valeur projetée de 180 milliards USD d’ici à 2025, soit l’équivalent de 5,2 % du PIB du continent. La stratégie de transformation numérique de l’Union africaine appelle à l’élaboration d’un cadre politique et d’une loi type pour les startups afin d’accélérer leur potentiel de croissance et d’innovation. L’Union africaine avait besoin d’experts en politiques publiques pour faire avancer ces ambitions.

Notre soutien

Africa Practice a été mandaté par un partenaire de l’Union africaine pour concevoir un projet de cadre politique et de loi type sur les startups basé sur les meilleures pratiques internationales, prenant en compte les contextes politiques locaux et conçu pour l’écosystème des startups du continent. Nous avons apporté notre soutien au client dans les domaines suivants : 

  • Analyse des meilleures pratiques et de l’innovation dans la conception de politiques publiques
  • Évaluation des besoins réglementaires et législatifs
  • Conception et test de l’écosystème politique
  • Rédaction de textes législatifs

Les résultats

Le projet de loi a été présenté à la Commission de l’Union africaine et à divers groupes de parties prenantes, composés de représentants des communautés économiques régionales (CER), de fonctionnaires, d’experts en politique et de startups, qui l’ont validé conjointement. Il a été soumis à l’adoption des ministres du continent. Entre-temps, les représentants qui ont participé au processus de validation ont commencé à lancer des processus d’adaptation au niveau local.